Quand un bois forme Palais où ruissellent Or et Saphirs en Cascades opalines et cristallines,
Où, toujours, un parfum d'Encens initiatique aux senteurs aphrodisiaques flotte, en ambrine abyssine s'achemine,
Sous les palétuviers des amours enchaînés en feuillus et glands de chênes où s'ouvrent nos veinules en poitrine,
Semblables aux Parfums de nos fleurs translucides perçues par visionnaires druides et Sylphes, Dryades diamantines,
Là où ton noble sang bat et perdure en efflorescence lumineuse et frissonnante de nos vies en fusion balsamine,
Dont la cueillette sacrée ne cisèle que feuille précieuse, ornementée de rubis, en hyménée fluorescéine,
Quand, sur tes nobles tapis, mes légers sabots en suspens caracolent et s'égarent sans que tu y chemines,
Car tournis de ton esprit te précipite en mes feuillages ornementés, te jette hors des sentes d'Eglantine,
En endorphine subterfuge, en mes fourrures de rousses cajoleries, quand je me dandine en glycérine lutéine,
Pour te charmer, définitivement, d'humeur en offertoire mescaline, et me sceller à toi de mes baisers de bouche purpurine...
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