HEUREUSE DANSE
La vie creuse nos visages,
La vie se creuse en nos rides,
Efface nos rondes joues de jeunesse sage,
Innocente et confiante, encore sans acide...
La vie se creuse en nos rides,
Efface nos rondes joues de jeunesse sage,
Innocente et confiante, encore sans acide...
Notre regard se ternit, perd de sa pétillance,
Derrière le souci, l'angoisse et le malheur...
Cependant, heureusement, s'ouvre une salvatrice danse,
Lorsque l'Espoir et l'Amour préfèrent que l'on vive plutôt que l'on meure..
Derrière le souci, l'angoisse et le malheur...
Cependant, heureusement, s'ouvre une salvatrice danse,
Lorsque l'Espoir et l'Amour préfèrent que l'on vive plutôt que l'on meure..
Si notre visage arborait auparavant un grand sourire,
De commande ou de justification de notre existence,
A présent, la profonde joie clame ses adieux à ce triste sire ;
Nous ne craignons pas d'affirmer que le Souffle de Vie garde sa constance..
De commande ou de justification de notre existence,
A présent, la profonde joie clame ses adieux à ce triste sire ;
Nous ne craignons pas d'affirmer que le Souffle de Vie garde sa constance..
Il suffit parfois de se ressourcer en notre âme un temps désertée,
Il suffit de replonger au tréfonds, d'effacer des strates de stupeur ;
Il suffit de s'appesantir, réapprivoiser le Souvenir, de Lumière ressuscité,
Pour savourer là où se trouve notre Salut et Vraie Valeur...
Il suffit de replonger au tréfonds, d'effacer des strates de stupeur ;
Il suffit de s'appesantir, réapprivoiser le Souvenir, de Lumière ressuscité,
Pour savourer là où se trouve notre Salut et Vraie Valeur...
…Il suffit que tu me murmures de douces paroles
Pour que le Rossignol chante d'enchanteresses mélodies à mes oreilles...
Il suffit que tu poses sur moi un attentif regard qui m'affole
Pour que rutilent les rayons du captivant Soleil...
Pour que le Rossignol chante d'enchanteresses mélodies à mes oreilles...
Il suffit que tu poses sur moi un attentif regard qui m'affole
Pour que rutilent les rayons du captivant Soleil...
Le bonheur est souvent à portée de notre main ;
Le « Fuir avant qu'il ne se sauve » dirait Gainsbourg ?
… Non ! Plutôt le reconquérir alors qu'il paraissait enfui, subtil clandestin
… Que les jours sont beaux lorsqu'ils sont à réinventer, à broder de « Toujours » !
Le « Fuir avant qu'il ne se sauve » dirait Gainsbourg ?
… Non ! Plutôt le reconquérir alors qu'il paraissait enfui, subtil clandestin
… Que les jours sont beaux lorsqu'ils sont à réinventer, à broder de « Toujours » !
NOELLE ARNOULT
CHATILLON SUR SEINE
23 h 30, le 30 Septembre 2014
CHATILLON SUR SEINE
23 h 30, le 30 Septembre 2014
Je suis d'accord, c'est magnifique, touchée au coeur ,surgissent des larmes...
RépondreSupprimerMERCI
Corinne Revardeau.
Merci, Chère Corinne, et heureuse de vous émouvoir de bonheur...
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