jeudi 15 septembre 2016

HOMMAGE A DANIEL DARC, Une Place au paradis




Qui n'a pas aimé "Cherchez le garçon", et "Aussi belle qu'une balle", titres envoûtants (écoutés en boucle) des années 80...TAXI GIRL


Chemin de croix (Texte copié-collé via Internet)
Il n'est pas entré dans les ordres, mais Daniel Darc, juif converti au protestantisme, a fait preuve sur la fin de sa vie d'une foi fervente, mystique, la Bible le guidant, disait-il, au quotidien. Son chemin de croix en revanche, il l'a vécu. Et de l'Enfer, il est revenu. Emporté par un oedème pulmonaire en février dernier, alors qu'il s'était "calmé", il est mort consumé par les excès de toute une vie à flirter avec les abîmes.

Sentait-il, malgré sa sobriété retrouvée, sa fin proche ? Il s'était en tout cas attelé à un album dans lequel il se racontait comme rarement, une sorte de testament qui lui tenait particulièrement à coeur. Et qui apparait comme un compagnon de route musical de son autobiographie, elle aussi bien avancée mais inachevée, fruit de longs entretiens de plus d'un an avec le journaliste Bertrand Dicale, "Tout est permis, mais tout n'est pas utile", parue cet été.


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