LE FLAMBEAU
Qui sait honorer notre flambeau,
hormis Toi,
Noble Athénien égaré en Mont de
Caucase,
Le seul digne d'allumer notre Flamme
est toi,
Tel Titan Prométhée volant un feu
d'emphase...
Déesse Hestia, en Olympie, en son
foyer,
T'admire et sussure de t'épagner
supplice,
De foie humain par l'aigle, sans
cesse piqué,
Horriblement, et terriblement, en
Calice...
Digne de tout retransmettre, aux
dieux comme aux hommes,
Le message reçu, en sage
clairvoyant,
Doué même de clairaudience, en
gent prud'homme,
Soif d'osmose, à en trouver son
correspondant...
Mystique coutumier, tel porteur
d'idéal,
Ta flamme point et s'extasie en tour
de piste,
Fier coureur de brousse en aurore
boréale,
En révolutions lunaires et
terriennes, artiste …
Sur son quadrige, piaffer, hennir
d'impatience,
Tel Phaeton, fils d'Helios, jurant
sur le Styx,
Sur le chariot du soleil, Apollon en
sciences
Divines ou infernales, tu livres
rixe...
Je ne te punirai point, trop près
du soleil,
Même en tes suppliques de mornes
soleils noirs,
De Trous que tu évites avec soin,
Merveille,
Flamme brillante, rejoignant
Firmament, Star...
Flamme Olympique est comme une
flamme amoureuse,
Noble Athénien te prosternant
devant Niké,
Te confortant en victoire, ailes
aventureuses,
Et bénit, devant tous les dieux,
notre hyménée.
Noëlle ARNOULT
15 Novembre 2017,
Minuit, Dijon.
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