mardi 11 octobre 2016

ALEXANDRO JODOROWSKY ET POESIA SIN FIN

Comment ne pas vous parler de ce film POESIA SIN FIN, au cours d'un Cycle Jodorowsky, découvert par hasard au Cinéma ELDORADO à Dijon, ces jours-ci ? Comment un Poète ne parlerait-il pas à un autre poète de la vie, de l'amour, de la solitude, de la folie, de la révolte, de la Passion et de la Vérité ? Folie fantaisiste et furieuse à crier sur les toits, de la porte de notre âme grande ouverte pour déverser et recevoir le flot bouillant et impétueux de cette existence...

Voici la présentation du papier de l'Eldorado :

"Cette année à Cannes, acclamé tel un messie dans une salle bondée, le cinéaste chilien a répondu à la question lancée par un spectateur transi : "le cinéma peut-il nous guérir ?". Et Jodorowsky a dit : "Oui ! Le cinéma est un art. L'art est poésie. La poésie guérit !". Cette messe fut joyeuse car son guide est cinglé. Et son film, Poesia sin fin, est le plus beau que nous ayons vu au festival cette année (à égalité avec Peterson de Jim Jarmusch). C'est un voyage autobiographique où chaque plan n'est qu'invention, truculence, inconvenance, dans le Chili des années 50.(...) La poésie est chez lui une mystique, le véritable moyen de se libérer et de se trouver soi-même."

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