Inspiré par la chanson d'Edith Piaf, "Mon Dieu, mon Dieu, laissez-le moi encore un peu, mon amoureux ! Un jour, deux jours....encore !...
Ecrit en 2012, publié ce jour dans le Journal, et figurera dans mon prochain recueil "Enfer, Limbes et Rédemption" chez Hugues Facorat Editeur.
Sortie prévue en novembre 2016. Nombreux poèmes, deux nouvelles, plusieurs "Textes" et "Réflexions" ; dessin de Couverture de l'auteur, plus quelques-uns à l'intérieur, en noir-et-blanc.
On peut considérer que cet Ouvage sera le "pendant" du précédent ("Si j'avais été la Belle et autres Licornes") qui insiste sur la part nécessaire et salutaire de Rêve, d'Imagination, voire de mythologie ou de féerie, pour vivre mieux, échapper au marasme ; on pourrait considérer qu'il est nécessaire d'extrapoler- Ou de se référer à des états "supérieurs " - spiritualité, sublimation, invention, enjolivement, interprétation, idéalisme, etc. Dans "Enfer, Limbes et Rédemption", la "réalité" ou vie "quotidienne" (quoique ce terme semble peu exaltant et excitant !) est plus exactement décrite dans tout ce que l'homme a pu vivre et traverse encore au cours des siècles et des lieux. Evidemment que notre cerveau pensant prend en compte ces expériences et histoires pour se projeter dans "autre chose" car sinon il ne pourrait avancer en progressant...Il lui en faut courage, volonté et désir. Donc, dans ce très prochain ouvrage, traversons les enfers du marasme et les méfaits de l'Histoire, les injustices, les mésaventures de la solitude ou de la maladie pour arriver, après avoir stagné un peu dans les limbes ou le brouillard, à "remonter la pente" et à trouver un sens, sinon à la vie, tout au moins à sa vie, à travers diverses rédemptions...
« MON DIEU »
« Mon Dieu, Mon Dieu,
mon Dieu
Laissez-le moi encore un
peu mon amoureux »...
Ses caresses, ses mains
douces sur mes yeux,
Nos accords merveilleux nos
soupirs silencieux,
Nos yeux, sondant nos âmes,
heureux,
Non loin de l'Eden Perdu,
où nous ne sommes plus peureux...
Dans ce cocon de douceur
surannée,
Nid douillet où l'Erreur
est oubliée...
Un charme non surfait,
Où tout s'avère parfait...
« Mon Dieu,
Pourquoi m'as-tu
abandonné ?! »...
Tu m'en veux ?
… Je suis esseulé...
La Vie donne, la Vie
reprend ;
C'est un Prix que l'on paie
de son sang...
Aimer représente un tel
abandon
Qu'il n'y faut trouver
aucune raison,
Juste, en lui-même, sa
justification
Etrange, légère,
solennelle ;
Un bout de flanelle
Et de roc, tout à la fois,
Qui nous transforme en
Rois...
Cependant, une fois lâché
au Vent mauvais,
Cet étendard s'échoue dans
les Regrets...
NOELLEARNOULT
15 h
Vendredi 7 Décembre 2012
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